Nº1
02/08/2025
La mort est une peur, une peur si profonde, il parait meme que si vous la faite ressortir vous serez devoré par elle. cette peur est née du sang, de la haine et des illusions. Peu on la force de la voir au complet, la plupart la vois de maniere animal, aveuglé par leur simple sentiment, aucun d'entre eux ne sont assez courageux ou solide, à cause de leur maniere d'éxister, plus simple que certains. Ils oublie cette peur primordial et dévorante, comme un feu de foret les dévorant petit à petit, jusqu'à faire sauter une central de gaz et qu'il voie leur confort être completement inutil face à la vague de trisstesse qu'il ressente. cette peur est si absurde et ridicule, comme tout le reste de toute les personne de ce monde. mérit-il de vivre, oui, non,ça ne change absolument rien à leur grains de sable dans un espace infini, dévorant les âmes qui y pense. la peur d'être si petit est tout aussi vague que le reste. les paysages de ce grain de sable s'efface pour se faire remplacer des immeubles en béton, destiné à disparaitre à travers l'infini temps infini.le temps triompheras de tout qu'il ne soit qu'un concepte ou non, qu'il existe ou non. il nous tue tous à petit feu, dans un espace dont nous profitons à peine qu'une fraction infinie de ce dieu temps. ce dévoreur de monde est tout autant absurde que les monde qu'il terrasse d'un simple coup d'oeuil, infiniment long. voir ce monde sans sens mourir ne me fait ni chaud ni froid, il est triste, c'est vrai, mais dans l'infinité du temps on l'oublira pour flotter dans un espace aussi existant qu'inexistant, sans réponce. les vie ne valle pas plus que l'existence, une valeur inomable pour la plupart des gens, normal pour ceux qui savent, mais qui le sais vraiment, est ce qu'une entité le sais vraiment, dans cette infinie possibilité de haine, de tristesse, de peur. cette univers n'as pas plus de sens que le rien, le tout qui contient le rien, la folie n'est qu'une normalité parmis d'autre. si la plupart des êtres ouvrait leur yeux, il en mourerais dans l'instant.la vie n'as pas plus de valeur que ce qui la compose.notre peur commune n'est rien qu'une goutte d'eau dans un verre d'eau giguentesque et infiniment superieur au autre verre. le sang n'est qu'un liquide à consommer parmis tant d'autre.
Nº2
04/08/2025
le monde n'est-il point qu'une parodie de lui meme, bien que cela soit impossible, autant à créer qu'à regarder. ce genre de chose déséspéremment marante à regarder se péter la gueule jour apres jour, d'un super ordinateur qui calcule un "42" constant, qu'on oublieras de toute maniere, c'est jouissif. ça merite un"LOL" tellement ça ne sers à rien, enfin ça sers à soulager une question sans réponce, mais est-ce que cette question existe, est ce que l'univers existe? on s'en fout, ça change absolument rien à nos pitoyable existance de cinglé coincé sur notre inutile caillou, en sois est ce que vivre sers vraiment, peut etre, on s'en fout pareil, ce qui a du sens n'en n'as pas, d'ailleur est ce que le sens a un sens, est ce que les mots sont des mots qui veulent vraiment dire quelque chose, pouquoi certain sont obséder par la réponce de la vie, l'univer et de tout le reste, alors qu'au fond ça change que dalle à nos vie de savoir qu'on est là parce qu'on est là, si c'est un dieu, il ne nous aide pas donc on s'en fout, si c'est du pif bah 42, si c'est autre chose, ça change rien au fait que la plupart s'en batte les couilles ce genre de réfléxion, plutot utile jusqu'à devenir inutil de sens, mais est ce que la folie n'est pas une normalité innormal, peut etre que l'amour est aussi une normalité innormal, est ce que les mots ont un sens. oui et non, c'est compliqué à dire. mais est ce que la réalité est rééle, oui vu qu'on la vie, mais est ce que la vie est vécue? ça n'as pas vraiment de sens, on s'en fout tous un peu, de toute façon personne n'en n'aurait quelque chose à foutre, car si on ne s'en battait pas les couille on rechercherais tous ces vérités sans sens, ni réponce, c'est assez coquasse
Nº3
07/08/2025
Ce matin je me suis levé, puis relevé, puis tomber, puis tuer, puis ressusciter. Ça n’as pas de sens et alors ? Ou est le problème, ou est le non problème, ou est la question et sa structure ? La mort et la folie sont magnifiques à leur manière, comme la vie est cruelle et douce en même temps, la peur trahit et arrête la vie, la vie nous file chaque seconde derrière nous, rien n’es beau, rien n’est moche, rien n’est objectif. Chaque dents n’est qu’une partie d’un tout plus grand et plus petit, chaque bactérie attaché au dents est un petit monde d’entités simples qui sont plus limitées et instinctives, chaqu’une de ces batterie sont elle même des monde, malgré leur simplicité, mais est ce qu’un monde est simple, simplement compliqué ou compliquemment simple ? Est ce que le monde est une fleur de lave en fusion qui se tient debout à un soleil frappent un ciel violet ? Pourquoi est ce qu’il ne le serais pas, mais pourquoi est ce qu’il le serait ? Pourquoi est ce que le jaune est jaune et pas rouge ou bleu ? Est ce que la folie est un pilier de la raison et est ce que la raison est un pilier de la folie ? Est ce que la folie est la raison ? Est ce que la raison existe ? De toute façon ça nous change rien, c’est une magnifique torture pour nos cerveaux étriqué et infiniment simple et infiniment complexe. Le chaos est plus organisé que l’organisation elle même. La folie est une pureté parmi un monde infiniment complexemment simple à raccourcir.la vérité est un poison qui aide à guérir, mais les illusions sont toujours plus agréable, une vraie fiction est un cadeau de nos esprit fuyant une peur de se noyer dans une douleur absurde et destructrice. Le paysage d’un mort est le même que celui d’un vivant, parfois on oublie ce paysage, parfois on le vois et revois, sans cesse, seconde après jour, parfois la peur est une non solution, la nourriture de la vie est la vie elle même, une nourriture que tout le monde oublie de savouré, au final on s’en fous de tout, c’est si beau de nous caché une bonne partie de nous même, qu’on enterre dans notre jardin mental, mais est ce que ne pas voir cette partie ce n’est pas nous tuer nous même et nous oublié à la même occasion.
Nº4
26/08/2025
La peur est un rêve que personne ne comprends, personne ne comprends jamais rien car il n’y a rien à comprendre. À quoi ça sert de comprendre ? À rien. À quoi ça sert de vivre ? À rien. Ça a toujours été comme ça mais chaqu’un fait son petit monde seul et tout vas bien. C’est essentiel pour survivre dans sa propre tête de se mentir, la vérité n’est jamais absolue, la cherché c’est se tué à petit feu, en s’arrachant les membre petit à petit, c’est retiré la peau petit à petit, puis la chaire, puis le sang, puis on brise l’os et on recommence pour chaque membre. Certains sont obligé d’aller vers ce casse-pipe, involontairement. Au final on cherche tous quelque chose qui n’existe pas ou du moins qu’on est pas sur qu’il existe. Ah se brûler les ailes est tellement agréable, jour après jour à trimé pour que dalle, pour qu’au final on nous oublie comme un paysans aléatoire il y a 500 ans. Se mentir est vital, mais bien dosé, le plus dur est de savoir si l’on se ment. Mais est ce que le mensonge n’est pas une forme de vérité ? De toute façon ça ne sert à rien d’attendre la réponse, elle ne viendra jamais par oui ou non. Elle viendra peut être sous la forme « le mensonge est le reflet d’une vérité qu’on ne veux s’avouer », mais elle sera fausse car de toute façon la vérité n’existe pas. Rien n’est vrais pas même le rien. Et si rien est vrais, tout est vrais. Au final on s’en fout tous de savoir la réponse universelle, car c’est 42. un simple nombre qui ne veut rien dire. Les mots les plus exacte sont inexacte. Au final je ne fait que me répéter en boucle, je radote comme un vieux qui aurait l’alzheimer. La solitude est un plat quotidien pour chaqu’un, personne ne nous aime vraiment, ils aiment ce qu’on leur montre. Est ce que sentir c’est sentir ? Est-ce que vivre c’est vivre ? Et est ce qu’il y a une bonne manière de vivre ? On s’en fout, vive l’humour !
Nº5
07/09/2025
La couronne bleu de la reine rose est ventée telle une feuille d’orage rageur, la folie qui consume la couronne est un petit bleu de glace turquoise et une image de la plaine de la plaie, la reine mange des piement constement, puis elle les recrache au cheveux dans un ciel bleu nuage, le cheval cours dans le ciel comme une pomme court vers la terre, la beauté de ce geste est sans limite, et lorsque la course du cheval s’arrete le turquoise prends le dessus du tsunami de fleur et de buisson du château, la morgue n’accueille jamais personne car personne n’y vas tel le bois qui court se jeter à l’eau de l’est les beau soir d’été, sous le château il y a une grotte habitée par tant de chose que personne ne la voit,la vie de cette grotte est trop intence pour tout le monde, elle absorbe la vie du sol et empeche la récolte les saison d’été, dans le sous-sol il y a tellement de personne, de chose, de turquoise avec des teinte rouge, parfois du violet, mais souvent lorsque qu’une bougie y est allumé elle éclaire tout la grotte avec une intencité si puissant qu’un phare ferait pale fasse à coté, personne n’ose aller dans les sous-sol et inversement, personne ne veux savoir ou est l’entré du sous-sol et personne ne sait, mais le sous-sol regorge de beauté, de noirceur c’est un monde imagé magnifique qui brulerait la rétine de ceux qui y entre tant tout y est magnifique, des plantes n’y pousse que là bas, des créature ne vivent que la bas, certaine magie ne sont que là bas, mais tout le monde en a peur ou ne le vois pas, c’est triste pour un si beau monde souterrain, mais la reine y vas à l’entré rongé entre curiosité et peur, dans sa tête le combat entre ces 2 chose sont permanant, ce qui fait qu’elle reste plusieur heur sans bougé devant l’entré de la grotte sous son château. Le roi lui prefer l’ignoré et laisse sa femme y aller, quelle honte pour un monarch
Nº6
13/09/2025
Ou démarré ?
Par le commencement, connard.
non je veux pas.
Pourquoi ?
Parce que !
Parce que quoi ?
Parce que je décide ?
Oui mais pourquoi tu veux pas commencer par le commencement ?
Parce que ça me fait chié.
Alors commence par la fin.
Non,… je veux pas !
Mais putain de gosse à la con, tu veux commencer par le millieux ou tu ne veux juste pas commencer !?
Je veux pas commencer !
Mais pourquoi ?
Parce que c’est pas là.
De quoi qui est pas là ?
Je ne sais pas, tout.
Nº7
22/09/2025
Si seulement il existait un endroit dans le monde qui ne soit que de lumière, ce qui est impossible car l’ombre et l’obscurité vont avec cette lumière, la lumière c’est une belle chose car elle éclaire la vie et donne ou redonne éspoir, mais cet espoir est parfois dévorant, c’est le revers de la lumière, l’ombre, l’ombre dans lequel on refuse de s’y noyer comme un poisson ne sachant pas nager ni respiré, coulant au fond de cette eau supprimant petit à petit la lumière pour plonger dans une obscurité dévorante dont on ne revient pas, on y reste toujours un peu mais si on coule trop bas comme ce poisson mort on s’y fait manger par les autres poisson au fond, mais pour la plupart il évite cette ombre, par peur d’être consumé ou d’y être détruit, certain y vivent et souffre de la solitude du fond marin, ils se nourrissent d’eux même, ne trouvant rien d’autre à manger, ces poisson solitaire dans le noir essaye de monter pour trouver d’autre poisson et combler leur solitude, ils doivent se modifier quand il monte, pour supporter l’océan plus clément en haut. Dans cette océan plus lumineux qui fait mal au yeux de nos poisson de l’ombre, il modifie leur corps, réduise un peu leur fonctionnement, pour supporter la pression plus douce de l’eau salé et parfois hors de cette océan il y a des poisson volant dans les aires, ces poisson volant vole dans l’insouciance, telle des petit enfant, il ne sont pas seuls ils sont en bande. En dessous d’eu il y a les poisson adultes qui eux se concentre sur leur vie, ils y nage dedans parfois il s’aventure un peu dans la profondeur obscure de l’eau même si c’est rare, les poissons de l’ombre, on toujours vécu dans l’obscurité et essaye de manger et ou ou de se faire des amis, ils se sente si seul la en bas, pas d’amis, juste de la survie et comme ils viennent du fond personne ne vas en bas, pour certains ils sont étrange personne ne les comprends, ces poissons sombre s’y sente mieux même si cela n’est pas complètement satisfaisant, ils ont du contacte et de la nourriture, il commence à se nourrir d’algue ils devienne en surface des poisson des eau lumineuse et peu trouble mais au fond il restent des poisson d’en bas, bien que leur personnalité change légèrement, voir complètement, mais seulement en surface, portant des masques pour mieux intégré la société de l’eau peu profonde, mais ils restent toujours au fond des poissons de l’obscurité personne ne les comprendras vraiment jamais complètement, pas même les autres poisson des profondeur, chaqu’un ayant des technique de survie différentes, mais ils arrive que des poisson du haut arrive à apercevoir certain de ces poisson qui vienne d’en bas en allant eux même par curiosité en bas, ils les aperçoive, devienne amis avec eux et les sort de cette profondeur, qu’il gardera toujours dans son cœur
Nº8
04/10/2025
Au pays des émerveillement, il y a des fleures, des animaux, des rats, mais il n’y a pas de boissons, pas de voiture et pas de chaussures. Personne ne sait vraiment pourquoi, on sait juste que c’est comme ça et puis c’est tout, les enfant vivent heureux, les adulte rouspètent et les vieux se plaignent, mais les heureux enfant jouent innocemment, parfois à la guerre sans la nommer, parfois à un jeu de pouvoir et de souveraineté, les adulte plus ennuyant lise des journaux, prenne soin d’eux et laisse les enfant tranquille même quand les enfant on besoin d’eux, personne ne le vois ou n’en tient compte, les enfant pense que c’est normal et c’est tout, les vieux, eux reste sur leur banc blanc dans le parc de la capital, ils ont vu des choses que que eux se souvienne, pour la plupart de ces vieux, l’émerveillement est mort remplacé par le cynisme et la froideur protectrice, mais ils garde douceur et humour comme protection contre le désespoir. les adulte, eux, ont encore cet émerveillement qui se fait lentement détrôné par le cynisme et la froideur dont personne ne sort en dehors de rare élus, ils sont encore impressionné, mais moins que les enfants, qui,eux, sont l’incarnation de l’émerveillement, ils sont heureux dans leur innocence et découvre chaque chose comme si c’était une révolution universel, et c’est la chose la plus belle de ce pays, et pourtant personne ne le voit car la normalité la camoufle et c’est triste
Nº9
17/10/2025
La vie c’est une pelote de laine, plus on avance dedans plus notre chaussette prends forme, notre chaussette est douce chaude et elle peut recouvrir nos pieds pour les réchauffé, ainsi que nos coeur, on peut aussi les offrir à quelqu’un, cette chaussette laisse une trace de nous jusqu’à que son entiérté ne sois dilué dans le temps et sa durée indéterminé et indéterminable, ce vêtement peut aussi être utilisé pour la grève des chaussettes, qui à lieu tout les 1322 du mois de 23’092, c’est une magnifique fête ou les chaussette font leur vie dans leur ville, ça ressemble un peu à la gay pride dans la structure, mais en moins boycotté et en plus secret, cet instant laisse une photo de toute les chaussettes qui y sont, chaqu’une célébrant leur année de création dans la cellule 3421 de la 20’000 ème dimension de l’univers, hors les année passe plus vite qu’un clin d’œil mais les chaussette profite de leur existence et de leurs photos dans leur maison qui sont d’un mélange de tissus et de béton. Ces maison elles aussi ont leur vie à vivre, bien qu’elle vivent plus longtemps que nos amies les chaussettes, elles aussi ont leur temps à tuer en s’occupant dans des activité plus ou moins intelligente, bien que personne n’aie jamais défini ce mot, d’ailleurs personne n’as jamais entendu une chaussette ou une maison parlé mais au fond personne n’as jamais prouvé que ces chose ne parlais pas, au fond de leur coeur d’objet, il ont des émotions, je ne sais pas lesquels mais elles en ont et toutes en profites le temps de leur vie plus ou moins long, un peu aléatoire c’est vrais, mais une vie quand même.
Nº10
25/10/2025
Jour, après jour, après jours, on se lève dans un cirque, on fait notre routine qui se confond dans mille autre routine semblable qui se confonds elle même dans mille autre routine semblable, on passe notre temps à faire les clowns pour divertir les riche qui nous jette des billets, comme à des strip-teaseuse, et on ramasse autant qu’on peut en ramassé, pour continuer de faire grandir notre cirque, mais les riches s’ennuient donc ils faut être de plus en plus choquant, marquant, banalisant la violence petit à petit et plus le temps avance moins l’ont deviens humain, jusqu’à être des cartoon, des caricatures de nous même lentement on devient des meurtrier sans âmes qui regardent par la fenêtre, se rappelant ainsi des temps plus simple et joyeux, et ils travaille jusqu’au burn-out, une fois ce stade atteint on les vire du cirque en les vendant à l’abattoir ou on leur fait croire qu’on vas les soigné, les derniers clown survivant au massacre, ce qui n’est pas complètement faux, puis on engage de nouveau clown pour faire retourné la machine à fric qu’est le cirque
Nº11
02/11/2025
Au début on vois la lumière, la renaissance, le renouveau, puis l’obscurité revient petit à petit montrant des période noir et sombre, et c’est la qu’on se rends compte que la lumière cachait une ombre que nous ne captons qu’en plongeant dans le fin fond d’un océan, dans une obscurité ou personne ne vas, les seuls à y aller son ceux qui se condamne à y aller. Les jours et les semaines passent, les voix et les vie bouge, le crie d’un enfant au loin ou le ronchonnement d’un vieux sans cœur se dissolve dans un quotidiens que l’on oublie, ou bout d’un temps on oublie pourquoi le quotidiens est un quotidiens, dans ce confort on a peur d’en sortir, enfin pas tous, on as tellement peur de ce que l’on ne comprends pas, enfin pas tous, certains aiment ce qui sort du quotidien dans lequel on se noie quotidiennement, ensevelis sous des gravats qui nous tus petit à petit, comme le temps qui défile indiscutablement et qui fait qu’on oublie, les chose importante, les chose moins importante, les oublis, puis au final on meurs en pensant avoir bien remplis sa vie, voyant le crépuscule et la nuit approché chaque journée aussi délicieuse les une que les autres, mais au final on oublie les jours, ça devient juste un élément temporel comme un autre et beaucoup de chose ne sers pas à rien du moins à nos yeux non-divin, peut-être divin, au final les pommes aiment les poires et elles aiment les tomate rouge et bleu, le violet est une jolie couleur que mai vient porter dans ces bras en volant avec ses ailes, Septembre les voit passer comme un jours passent lentement et vite, puis Tandier les vois il est surpris de les voir et c’est tout, Mars est trop occupé à la gare de la guerre, la peur elle se cache dans un souterrain que personne ne vois, elle est juste là dessous et vis sa vie, comme une ombre qui crains le soleil, les voiture elles vont vite et moins vite et se crash les unes sur les autre comme des domino-pion d’échec, tout le monde fonce sur la jolie voiture fuchsia et sépia que personne ne vois jamais d’habitude, pourtant elle est là tout les jours, ahhh le temps, le magnifique temps qui reste le long du temps qu’il nous reste avant de disparaître ou de désiré enfin la paix, chaque seconde est un cadeau autant qu’une plaie, personne n’aime le temps car le monde à peur du temps, et le taon nous dévore nous rappele le temps que le temps nous laisse telle sa piqure semblable à celle d’épicure que janvier confiat à cendrier qui berça l’enfant des pleurs de joie et de tristesse de sable que les grec dévorait en temps de banquet, personne ne sait d’où ça vient, mais personne ne cherche à savoir, ils veulent juste voire une spirale les bouffé comme une nué de moustique tournant en spirale turquoise et violette, les rose rouge et noir sont la dans le jardin de la voiture fushia, comme une évidence que personne n’as jamais osé dire.
Nº12
16/11/2025
Vivre c'est comme avoir une peinture qui s'efface, elle est là et petit à petit les couleur s'appauvrisse, vieillisse, sans que l'ont puisse rien faire pourtant on aime ça, voir sentir les chaussette au bout de nos pied, nous chauffé, on aime se sentir vivre, certain non, mais c'est pas grave chaqu'un aime aimer, il y en as meme qui aime détésté, vivre c'est sentir, et c'est bien sentir, on sent avec nos yeux, nos oreils, nos doigts et on aime ça, au fond la vie c'est des petit truc simple qu'on oublie dans la complexité du monde et dans notre petite routine, et c'est beau le monde dans sa complexité, qu'on soit la n'est ni une chance ni une malchance c'est juste un fait, c'est un don ou une malédiction comme on choisis de le voir, le monde est injuste mais il est juste à ça maniere, au final si on l'aime ou le détéste c'est de sa faute, on est tous infiniment petit, infiniment grand et infiniement moyen dans un monde qu'on ne comprends qu'à peine et dont on as peur, et on n'aime pas avoir peur, on aime voir les choses comme ça nous arrange et c'est bien comme c'est mal et faut en profité car c'est pas étérnel et on aimerais que ça le soit au fond l'homme c'est des contadiction compliqué pour un rien, mais avant tout c'est un être émotionnel qui est concient de lui meme dans un monde ou il n'en as pas besoin et c'est beau.
Nº13
à venir